Monday, October 02, 2006

o/~ Nouuus on cueille des pommes, parapa pomme pomme...

Des pommes, des pommes! En veux-tu? En v'là!

Accompagné de mes habitués de rando et cuisine collective Bruno et Karine^2, j'ai eu la chance de revoir enfin l'Île d'Orléans après une longue période d'absence. Et quelle journée parfaite pour savourer ce moment! Une des rares périodes de soleil que nous pourrons encore déguster en cet automne, oui, déjà entamé, accompagné d'une belle chaleur; juste assez pour être confortable.

Nous avons décidé d'aller cueillir des pommes... non, attendez... cueillir DES pommes, bien fraîches, pour alimenter notre cuisine collective du lendemain. Le thème pour cette cuisine était, vous l'aurez deviné, les fraises. Err... En tous cas, vous avez compris.

85 lbs. Quatre. Vingt. Fucking. Cinq. De quoi nourrir une armée tous les jours et qu'il en reste encore pour mettre dans les bas de noël enrobés d'une couche de sucre d'orge. On pourrait aussi faire une réplique de tour Eiffel avec, pourquoi pas.

Trève d'idées boîteuses, c'était le branle-bas de combat dans les vergers; selon toute apparence, nous n'étions pas seuls à avoir eu cette merveilleuse idée. Nous avions par contre la chance d'être un peu moins paresseux que la masse, alors passé quelques centaines de mètres, c'était vide de gens et plein de belles pommes fraîches.

Bref, nous avons eu beaucoup plus de munitions que nécessaires pour s'amuser le lendemain, pour notre cuisine collective mensuelle. Trois recettes différentes de poulet aux pommes (accompagnés de riz, de couscous ou de raisins secs et légumes), du porc et du saumon, et là on se parle que des repas. Parce que bien sûr, qui dit pommes, dit desserts: tartes, muffins, compote... et l'inévitable, la traditionnelle, l'exquise Croustade aux pommes. Je n'y ai pas encore goûté, mais juste à y voir la bette et y sentir l'odeur, je voyais déjà mon estomac s'élargir un peu plus. Merci, Bruno.

Pour ma part, j'ai enfin appris à faire et rouler de la pâte dans le sens du monde. Je sens qu'elle va être bonne aussi, ma tarte. Je me aussi suis amusé à faire des dessins sur les dessus de tartes (bon ok, pour certaines c'était plutôt abstrait... C'EST DE L'ART! Qu'y disent.)

Je n'ai pas dîné, je n'ai pas soupé. Mais dieu que j'ai grignoté. Arg, maman, pas encore des pommes. Oui oui mon enfant, t'en as encore pour le prochain mois à te gaver. Les fibres sont nos amis, qu'y disaient...

Je sens qu'elles vont devenir très proches. D'endroits très prisés du corps.

o/~ Là où la lumière du soleil ne se rend pas... o/~

PS. Cliquez ici pour les photos, gracieuseté de Bruno! :)

Wednesday, September 27, 2006

Dans l'autobus en pleine heure de pointe...

Mardi soir, autour de 5h. J'emprunte le métrobus (circuit le plus fréquent et emprunté du réseau), version 801 pour me diriger vers Charlesbourg, bien décidé à sortir mon méchant lors d'une de mes sessions hebdomadaires de kenpo (un art martial comme le karaté).

Bien entendu, l'autobus est bondé. Tout plein de gens debout, afin de me faciliter le plus possible la tâche de frayer mon chemin et me faire tout petit dans mon coin, accompagné de mes 6'2 et de mon tout aussi minuscule sac de sport.

Au loin, je vois mon salut: un siège assis, libre, au fond de l'autobus. Peu à peu, m'imiscant entre mille et un personnages à degrés de grinchisme (i.e. n.m. Caractère de ce qui est grincheux) divers, je me dirigeai d'un pas plus ou moins assuré, mais déterminé, droit devant... vers l'arrière. Le doux duvet bleu de son confortable dossier bien en vue, rien ne pouvait m'arrêter.

Rien. Sauf peut-être...

From Fourre-Tout

Crissement de freins. Aiguille de table tournante déraillant de sa piste sur un 78 tours. Consternation. Déception. Et blâme personnel: "Mais oui, épais, who in his right mind laisserait un tel siège libre dans les conditions normales d'une telle situation?" À quoi avais-je pensé?

Et pourtant, elle était là. La Grosse Crisse typique dont on se moque tous. Prenant, à mon grand dam, UN BANC ET DEMIE de large. Littéralement.

Et moi, debout bloquant le passage avec mon sac, ébahi. L'air d'un cave.

Et en plus, la caliboire, elle dormait...

Wednesday, June 14, 2006

How long will you live?

I have a long-living family history... even my grand-grandmother is still alive, at 97! Although her health's giving her a hard time on a couple of things (especially hearing, which has always somewhat spread around the family; i'm myself half-deaf - that is, only one of my ears is functional), she's still quite awake and sharp-minded.

Well, the odds say that I'm likely to live relatively old too; 88 years of age to be more precise!

http://deathforecast.com/result.php?record=169515

This is where I got my result. So, are you, too, to be long-lived? :P